Sterrebeek, 6h30 du matin. Sur une piste longue de 2.200 mètres, Chloé et Jonathan s'élancent sur les chevaux de l'écurie Nino Minner. Ces jeunes caressent l'espoir d'une nouvelle carrière: celle de jockey professionnel. Par tous les temps, Chloé, 21 ans, et Jonathan, 19 ans, s'entraînent, dans un esprit de camaraderie, encadrés par des hommes expérimentés qui leur apprennent les ficelles du métier, l'approche et la maitrise du cheval, mais aussi ses dangers. Une ombre menace leurs rêves de gloire. Les uns après les autres, les champs de course belges disparaissent. Boitsfort et Groenendael sont à l'abandon. Et voilà que l'hippodrome d'Ostende, qui organisait encore tout l'été des courses de galop, n'a pas sorti de programme pour l'année. Des rumeurs circulent sur la reconversion de l'hippodrome en complexe cinématographique ou en terrain de golf. Même Sterrebeek est menacé. Déclaré en faillite depuis deux ans, l'hippodrome sera mis en vente publique pour 4 millions d'euros, même si 14 journées de course de galop sont encore prévues cette année. Seul Ghlin semble assuré d'accueillir encore les parieurs et les amateurs de course, de moins en moins nombreux.
Le Covid-19, virus répandu en Chine, a rapidement atteint plusieurs pays dans le monde entier, causant des centaines de morts et des milliers de contaminés. En Belgique, le gouvernement espère parvenir à endiguer l’épidémie en appliquant le confinement.
Hilde a vécu une vie décalée qui ne se raconte pas sur un CV. « Mère-enfant », « prostituée », « cocaïnomane ». Entre les lignes, il y a toute la complexité d’une existence.
75 ans après la bataille des Ardennes, on y trouve encore, dans les profondeurs des caves, granges ardennaises, des objets témoins de cette page d’histoire.