Cette exposition de photographies est le travail du collectif de photographes belges Huma qui s’est associé à Amnesty International pour documenter la faculté de résilience de ces hommes, femmes et enfants contraints de fuir les violences et les persécutions, et de partir chercher protection, ailleurs. Ces personnes appelées « réfugiées », « migrantes » ou « demandeuses d’asile » qui n’ont eu d’autres choix que celui de rebondir au sein d’une société le plus souvent hostile à leur accueil.
Photographies de Johanna de Tessieres, Olivier Papegnies, Virginie Nguyen Hoang et Frédéric Pauwels
Textes de Laure Derenne
Cette exposition de photographies est le travail du collectif de photographes belges Huma qui s’est associé à Amnesty International pour documenter la faculté de résilience de ces hommes, femmes et enfants contraints de fuir les violences et les persécutions, et de partir chercher protection, ailleurs. Ces personnes appelées « réfugiées », « migrantes » ou « demandeuses d’asile » qui n’ont eu d’autres choix que celui de rebondir au sein d’une société le plus souvent hostile à leur accueil.
Photographies de Johanna de Tessieres, Olivier Papegnies, Virginie Nguyen Hoang et Frédéric Pauwels
Textes de Laure Derenne
De nombreuses personnes réfugiées prennent leur vie en main, continuent à vivre malgré un parcours pourtant semé d’embûches.
Malgré les menaces et le dernier génocide qu’ils ont subi, les Yézidis perpétuent leur tradition ancienne et continuent à se rendre au pèlerinage de Lalesh.
La Haute Couture vue des coulisses....
Collectif
Cette exposition de photographies est le travail du collectif de photographes belges Huma qui s’est associé à Amnesty International pour documenter la faculté de résilience de ces hommes, femmes et enfants contraints de fuir les violences et les persécutions, et de partir chercher protection, ailleurs. Ces personnes appelées « réfugiées », « migrantes » ou « demandeuses d’asile » qui n’ont eu d’autres choix que celui de rebondir au sein d’une société le plus souvent hostile à leur accueil.
Photographies de Johanna de Tessieres, Olivier Papegnies, Virginie Nguyen Hoang et Frédéric Pauwels
Textes de Laure Derenne
Elles sont des millions à jouer au foot à travers le monde. Pourtant, de Bruxelles à Téhéran, de Buenos Aires à Amman, en passant par Paris et Abidjan, les femmes sont peu visibles au sein du sport le plus populaire de la planète.
De nombreuses personnes réfugiées prennent leur vie en main, continuent à vivre malgré un parcours pourtant semé d’embûches.
Elles sont des millions à jouer au foot à travers le monde. Pourtant, de Bruxelles à Téhéran, de Buenos Aires à Amman, en passant par Paris et Abidjan, les femmes sont peu visibles au sein du sport le plus populaire de la planète.